The scribe of Valdemar Mota Menezes studying the writing of the ancient Egyptians: Egyptian hieroglyphics. In these two videos he makes some lessons writing your own name.
hierogliphes 1
hierogliphes 2
One of the world's oldest civilizations bequeathed hieroglyphics that only in the modern age has been translated. Many monuments in Egypt have hieroglyphic texts that hark back to the ancient world. (By scribe Valdemir Mota de Menezes)
segunda-feira, 20 de junho de 2011
terça-feira, 31 de maio de 2011
RAZÃO DESTE SITE
HIERÓGLIFOS EGÍPCIOS
Uma das civilações mais antiga do mundo deixou como herança os hieróglifos que somente na Idade Moderna foi traduzida. Muitos monumentos no Egito possuem textos em hieróglifos que nos remetem ao mundo antigo. (Por escriba Valdemir Mota de Menezes)
Uma das civilações mais antiga do mundo deixou como herança os hieróglifos que somente na Idade Moderna foi traduzida. Muitos monumentos no Egito possuem textos em hieróglifos que nos remetem ao mundo antigo. (Por escriba Valdemir Mota de Menezes)
quinta-feira, 20 de janeiro de 2011
NOMS PROPRES
L'écriture des noms propres
Les égyptiens ont utilisé plusieurs systèmes pour rendre les noms propres étrangers. À l'époque des Ptolémées, les pharaons d'origine grecque qui ont succédé à Alexandre le grand, les noms étaient rendus par des unilitères, hiéroglyphes phonétiques représentant une consonne. Pour représenter les voyelles, quand les scribes en éprouvaient le besoin, on utilisait des consonnes faibles comme "y" ou "w", ainsi que des consonnes dont la prononciation s'était affaiblie comme le aleph et le ayin.
Le nom du roi Ptolémée s'écrit ainsi :
et se lirait "ptolmiis". la petite démonstration que nous proposons sur le web utilise les mêmes principes.
Les égyptiens ont utilisé plusieurs systèmes pour rendre les noms propres étrangers. À l'époque des Ptolémées, les pharaons d'origine grecque qui ont succédé à Alexandre le grand, les noms étaient rendus par des unilitères, hiéroglyphes phonétiques représentant une consonne. Pour représenter les voyelles, quand les scribes en éprouvaient le besoin, on utilisait des consonnes faibles comme "y" ou "w", ainsi que des consonnes dont la prononciation s'était affaiblie comme le aleph et le ayin.
Le nom du roi Ptolémée s'écrit ainsi :
et se lirait "ptolmiis". la petite démonstration que nous proposons sur le web utilise les mêmes principes.
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